San Pedro de Atacama ( SPA) est situé à 2438m. Nous venions de Bolivie , entre 4000 et 5000m,de suite la chaleur nous a paru élevée.
passage de la frontière:
Il y a du monde. Beaucoup de monde venant essentiellement de SPA. Les gens se repèrent à la tenue légère et le manque de protection au soleil. Tongues, short... rien de ceci n'est possible en Bolivie.
Etant arrivés les premiers, nous avons pu assister au manège quotidien des tours opérateurs.
1. passage au poste frontière
Personne, il est 8h00. Passés 9h00 de nombreux véhicules (4x4 et mini bus) stationnent ,une longue file se constitue. Une personne pour tamponner le visa et prélever la taxe de 20 bol/ pers qui peut aussi être payée en pesos chilien.
Petits déjeuner servis aussi à une table à l'arrière de chaque véhicule.
Il nous faut trouver un véhicule repartant sur SPA. Pas évident mais des mini bus se réjouissent de notre participation forfaitaire de 5000 pesos/pers Il aura fallu plus d'une heure pour en trouver un...
Le passage au poste frontière à l'entrée de la ville. Tampon.
Nous passons une heure dans la file d’attente juste pour les papiers d’entrées au Chili. Deux officiers pour une centaine de personnes dans la queue. Ensuite c’est le contrôle minutieux des bagages. il existe une psychose au Chili en ce qui concerne les produits alimentaires étrangers: Pomme, banane, raisin etc, produits artisanaux dérivés de plantes ou de bois, tout est contrôlé et souvent confisqué. Uniquement les bagages sont fouillés. Il y a bien un scanner mais sous une bâche.Ils ont l’œil et la main experte. Un voisin avait bien une banane alors que l'affichage était clair !
Le passage fut relativement rapide car le chauffeur du mini bus a su vite passer entre les mailles et que nous sommes partis suffisamment tôt.
C'est lui qui nous prend en charge ensuite alors que nous sommes aux portes de la ville. Il dépose où l'on souhaite ensuite dans SPA. A condition de savoir où loger !
San Pedro de Atacama est une ville hyper mais hyper orientée touristes. Tout est fait pour trouver des sorties, des prestations pour vous accompagner durant les balades. Les agences se multiplient, les restaurant également. Mais alentours on peut trouver son bonheur. Bien souvent il y a sous traitance. On réserve à une agence et une autre vous prend en charge le lendemain. L'essentiel pour eux étant de remplir les mini bus de transport.
La ville est bien quadrillée, facile de se repérer. Le matin c'est calme, il faut attendre au moins 9h00 pour que cela ouvre.
De caractéristique il y a la place centrale avec l'église en pisé.
passage de la frontière:
Il y a du monde. Beaucoup de monde venant essentiellement de SPA. Les gens se repèrent à la tenue légère et le manque de protection au soleil. Tongues, short... rien de ceci n'est possible en Bolivie.
Etant arrivés les premiers, nous avons pu assister au manège quotidien des tours opérateurs.
1. passage au poste frontière
Personne, il est 8h00. Passés 9h00 de nombreux véhicules (4x4 et mini bus) stationnent ,une longue file se constitue. Une personne pour tamponner le visa et prélever la taxe de 20 bol/ pers qui peut aussi être payée en pesos chilien.
Des bâtiments ensuite permettent d’offrir le petit déjeuner à ceux qui se sont acquittés des formalités:
Il nous faut trouver un véhicule repartant sur SPA. Pas évident mais des mini bus se réjouissent de notre participation forfaitaire de 5000 pesos/pers Il aura fallu plus d'une heure pour en trouver un...
L’arrivée à San Pedro de Atacama
contraste: les gens n’ont pas le même
faciès. En Bolivie on compte beaucoup
d’indigènes. Le Chili concentre une population issue de
l’immigration européenne.
Le passage au poste frontière à l'entrée de la ville. Tampon.
Nous passons une heure dans la file d’attente juste pour les papiers d’entrées au Chili. Deux officiers pour une centaine de personnes dans la queue. Ensuite c’est le contrôle minutieux des bagages. il existe une psychose au Chili en ce qui concerne les produits alimentaires étrangers: Pomme, banane, raisin etc, produits artisanaux dérivés de plantes ou de bois, tout est contrôlé et souvent confisqué. Uniquement les bagages sont fouillés. Il y a bien un scanner mais sous une bâche.Ils ont l’œil et la main experte. Un voisin avait bien une banane alors que l'affichage était clair !
Le passage fut relativement rapide car le chauffeur du mini bus a su vite passer entre les mailles et que nous sommes partis suffisamment tôt.
C'est lui qui nous prend en charge ensuite alors que nous sommes aux portes de la ville. Il dépose où l'on souhaite ensuite dans SPA. A condition de savoir où loger !
San Pedro de Atacama est une ville hyper mais hyper orientée touristes. Tout est fait pour trouver des sorties, des prestations pour vous accompagner durant les balades. Les agences se multiplient, les restaurant également. Mais alentours on peut trouver son bonheur. Bien souvent il y a sous traitance. On réserve à une agence et une autre vous prend en charge le lendemain. L'essentiel pour eux étant de remplir les mini bus de transport.
La ville est bien quadrillée, facile de se repérer. Le matin c'est calme, il faut attendre au moins 9h00 pour que cela ouvre.
De caractéristique il y a la place centrale avec l'église en pisé.
La charpente en bois de cactus.
Notre intérêt sur SPA était de visiter:
- TOCONAO, une oasis que nous irons voir en collectivos. 1000 pesos/pers l'aller.
- la vallée de Muerte( ou marte) que l'on fera par nous même en vélo.
Nous avons fui rapidement. Le charme après la Bolivie était rompu.
Le soir des fêtes avec des groupes ayant chacun ses costumes et musique. Grosse cacophonie mais sympa.
La gare routière placée quasi en ville permet de rejoindre toutes les destinations, jusqu'à Santiago direct. Plusieurs compagnies.
Pour les hostels il y a de tout à tout tarif. Il y a du monde mais turn over quotidien. Cela reste un peu cher pour des prestations modestes. Compter mini 30€/nuit en matrimonial, 40€ avec salle de bain privative. Le petit déjeuner étant à la chilienne s'il est inclus. Modeste...
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